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Ça veut l'port d'armes et les gros bras à Jean-Claude Van Damme
J'fume la beuh d'Amsterdam, celle qui est bonne, qui t'monte au crâne
Tu veux d'la bonne, le p'tit t'écrase deux Dolipranes
Si dans l'bus', tu déconnes, le p'tit reviendra armé en bécane
Moi, j'fume des cônes, nanana, et je déconne, nanana

J'sais que j'vous étonne, nanana, encore un album, nanana

J'suis plus dans la zone, nanana, j'me suis taillé, nanana

Mi corazón, nanana, j'm'en vais, ça y est, nanana

Pochons dans le sac Quechua, claquettes, coupe au séchoir

J'ai envie d'rôder l'soir mais dans la vie, faut faire des choix

Seront-ils là à mon décès ? J'ai fais des sous, ça m'a laissé

Ça m'a haït, rabaissé, à en mériter des fessées

Tu m'racontes tes 'blèmes, j'ai d'autres soucis

Ils m'en veulent, ils m'aiment, c'est la jalousie

Ils récoltent c'qu'ils sèment, j'suis comme eux donc moi aussi

Dis-moi c'qu'il t'gêne, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis

Ça veut l'port d'armes et les gros bras à Jean-Claude Van Damme

J'fume la beuh d'Amsterdam, celle qui est bonne, qui t'monte au crâne

Ça veut l'port d'armes et les gros bras à Jean-Claude Van Damme

J'fume la beuh d'Amsterdam, celle qui est bonne, qui t'monte au crâne

Dès fois, j'passe par le secteur, ils m'reviennent, les souvenirs

Les temps pleins dans le quartier, avant d'voir les sous venir

J'ai pas l'salaire d'un joueur d'ballon, j'ai pas encore deux tigres dans l'salon

J'ai pas changé j'représente toujours Tarascon, La Farlede, Baumettes, Luynes, Salon

Et en promenade, ça travaille les pec', rien qu'du parlu, ça arrache des têtes

Suffit d'une balance et l'maton les pète, suffit d'une balance et l'maton les pète

Tu m'racontes tes 'blèmes, j'ai d'autres soucis

Ils m'en veulent, ils m'aiment, c'est la jalousie

Ils récoltent c'qu'ils sèment, j'suis comme eux donc moi aussi

Dis-moi c'qu'il t'gêne, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis

Ça veut l'port d'armes et les gros bras à Jean-Claude Van Damme

J'fume la beuh d'Amsterdam, celle qui est bonne, qui t'monte au crâne

Ça veut l'port d'armes et les gros bras à Jean-Claude Van Damme

J'fume la beuh d'Amsterdam, celle qui est bonne, qui t'monte au crâne

Moi, j'fume des cônes, nanana, et je déconne, nanana

J'sais que j'vous étonne, nanana, encore un album, nanana

J'suis plus dans la zone, nanana, j'me suis taillé, nanana

Mi corazón, nanana, j'm'en vais, ça y est, nanana

Tu m'racontes tes 'blèmes, j'ai d'autres soucis

Ils m'en veulent, ils m'aiment, c'est la jalousie

Ils récoltent c'qu'ils sèment, j'suis comme eux donc moi aussi

Dis-moi c'qu'il t'gêne, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis, je dis c'que j'vis

Je dis c'que j'vis

Explication des paroles

La chanson « JCVD » de Jul est un hommage au célèbre acteur belge Jean-Claude Van Damme, surnommé JCVD. Dans ce titre, Jul rend hommage au talent et à la carrière de l’acteur, en reprenant des éléments de sa filmographie et de sa vie personnelle.

Les paroles de la chanson font référence à des films emblématiques de JCVD tels que « Bloodsport » et « Kickboxer », ainsi qu’à des moments marquants de sa vie comme sa célèbre danse dans le film « Kickboxer ». Jul évoque également la personnalité charismatique et parfois controversée de l’acteur, en jouant sur son image de star d’action.

En plus de rendre hommage à JCVD, Jul utilise également la chanson pour mettre en avant sa propre réussite et sa détermination, à l’image de l’acteur qu’il admire. Le titre « JCVD » est un mélange habile entre références cinématographiques, auto-célébration et admiration pour une icône du cinéma d’action.

Cette chanson a été bien accueillie par les fans de Jul et a contribué à renforcer sa popularité, tout en offrant un clin d’œil sympathique à l’univers du cinéma d’action.