A la huella, a la huella
José y María,
por las pampas heladas
nardos y ortigas.
A la huella, a la huella
cortando campo,
no hay cobijo ni fonda
sigan andando.
Florecita del campo,
flores del aire,
si ninguno te aloja
¿a dónde naces?
¿Dónde naces florcita,
que estás creciendo,
palomita asustada,
grillo sin sueño?
A la huella, a la huella
José y María
con un Dios escondido,
nadie sabía.
A la huella, a la huella
los peregrinos,
préstenme una tapera
para mi Niño.
A la huella, a la huella
soles y lunas,
los ojitos de almendra,
piel de aceituna.
¡Ay burrito del campo!
¡Ay buen bar-cito!
¡mi Niño esta viniendo,
háganle sitio!
Un ranchito de quincha,
sólo le ampara,
dos alientos amigos
la luna clara.
A la huella, a la huella
José y María.
Explication des paroles
La chanson « A la huella a la huella » de Florent Pagny est une reprise d’une chanson traditionnelle argentine, popularisée par l’interprétation du célèbre chanteur Carlos Gardel. Les paroles évoquent le thème du voyage, de l’aventure et de la découverte, invitant l’auditeur à suivre les traces laissées par ceux qui sont passés avant nous.
Florent Pagny a choisi d’interpréter cette chanson dans son album « Tout et son contraire » sorti en 2010. Sa voix puissante et émouvante apporte une dimension nouvelle à ce classique de la musique latine.
L’instrumentation de la chanson, avec ses accents folkloriques argentins, renforce le caractère envoûtant de cette ballade. Les arrangements subtils et les harmonies vocales ajoutent une profondeur à l’interprétation de Florent Pagny.
Cette chanson résonne comme un appel à l’aventure, à la découverte de nouveaux horizons. Elle célèbre le voyage comme une quête de sens et d’authenticité, invitant chacun à suivre son propre chemin, à laisser sa trace à son tour.
En résumé, « A la huella a la huella » est une magnifique chanson qui allie la tradition argentine à l’interprétation passionnée de Florent Pagny, offrant aux auditeurs une expérience musicale riche en émotions et en poésie.