Découvrez les paroles de la chanson « Adieu, Venise provencale [1934] » de Alibert, accompagnées des explications de leur signification, d’anecdotes et de contexte.
Paroles de la chanson
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Dans les grands pins chantez toujours
Barques aux douces couleurs
Collines rousses de fleurs
Au loin je pars je vous laisse mon cur
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Cher petit village au bord de la mer
Je te laisse en gage tout ce qui m'est cher
L'éternel été d'un ciel enchanté
Où j'ai cru vivre un jour tous mes rêves
Pays que j'aimais je dois désormais
Loin de toi m'en aller à jamais
[Refrain]La fillette brune qui m'avait tout bas
Au clair de la lune fait de beaux serments
Dans sa jolie main a brisé soudain
Mes espoirs et toute ma tendresse
C'est pourquoi je veux oublier ses yeux
Et quitter cher pays ton ciel bleu
[Parlé]Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Dans les grands pins chantez toujours
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Explication des paroles de Adieu, Venise provencale [1934] de Alibert
La chanson ‘Adieu, Venise provençale [1934]’ interprétée par Alibert raconte le deuil de la Provence face à la modernisation. Il s’agit du thème principal de la chanson, qui évoque la nostalgie pour un passé rural et authentique qui s’efface peu à peu devant le progrès. Créée en 1934, cette chanson résonnait particulièrement à l’époque où la société française commençait à être transformée par l’industrialisation et l’urbanisation. Une anecdote intéressante sur cette chanson est que son succès a permis à Alibert de devenir une figure emblématique de la chanson provençale. En conclusion, ‘Adieu, Venise provençale [1934]’ est un hommage touchant à la culture et à la tradition provençales, tout en exprimant une certaine mélancolie face au passage du temps et au changement.