Découvrez les paroles de la chanson « Adieu, venise provençale » de Alibert, accompagnées des explications de leur signification, d’anecdotes et de contexte.
Paroles de la chanson
Paroles de la chanson Adieu … Venise Provençale par Alibert
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Dans les grands pins chantez toujours
Barques aux douces couleurs
Collines rousses de fleurs
Au loin je pars je vous laisse mon cœur
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Cher petit village au bord de la mer
Je te laisse en gage tout ce qui m'est cher
L'éternel été d'un ciel enchanté
Où j'ai cru vivre un jour tous mes rêves
Pays que j'aimais je dois désormais
Loin de toi m'en aller à jamais
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Dans les grands pins chantez toujours
Barques aux douces couleurs
Collines rousses de fleurs
Au loin je pars je vous laisse mon cœur
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
La fillette brune qui m'avait tout bas
Au clair de la lune fait de beaux serments
Dans sa jolie main a brisé soudain
Mes espoirs et toute ma tendresse
C'est pourquoi je veux oublier ses yeux
Et quitter cher pays ton ciel bleu
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Adieu cigalons et cigales
Dans les grands pins chantez toujours
Adieu Venise provençale
Adieu pays de mes amours
Explication des paroles de Adieu, venise provençale de Alibert
La chanson « Adieu, Venise provençale » d’Alibert, sortie en 1931, évoque le sentiment de nostalgie et de mélancolie lié au départ d’une belle jeune femme de la ville de Marseille surnommée « Venise provençale ».
La chanson a été écrite à une époque où la cité phocéenne était en plein essor économique et culturel, et où de nombreux artistes s’inspiraient de son charme méditerranéen. Alibert, chanteur emblématique de Marseille, a glissé dans ses paroles une pointe de regret et de tristesse, faisant référence à la douleur de voir partir un être cher.
Une anecdote raconte que l’inspiration pour cette chanson serait venue à Alibert lorsqu’il aperçut une jeune femme quitter Marseille en bateau, laissant derrière elle ses souvenirs et son amour.
En conclusion, « Adieu, Venise provençale » est une ode touchante à la ville de Marseille et à ses habitants, sublimée par la voix envoûtante d’Alibert.