Découvrez les paroles de la chanson « Le mâle a dit » de Foé, accompagnées des explications de leur signification, d’anecdotes et de contexte.
Paroles de la chanson
Paroles de la chanson Le mâle a dit par Foé
On t’l’annonce un soir d’avril
Tu croyais pourtant ne pas t’être découvert d’un fil
Tu t’rappelles que sortir couvert
N’était plus qu’une option après tes quelques verres
Juste une derrière fois
Pour une derrière avant que l’on te jette
Juste une derrière fois
A tes pulsions de poussées de baise
Le mal arrive les maladies restent
Même si t’as mal et que t’es en miettes
Le mal a guéri la maladie reste
Pour une dernière avant que l’on te jette
Tu pleures et tu ris aux éclats
Tes morceaux de vie qui n’se recolleront pas
Tu t’envoies en l’air sans capter
Que c’est ton histoire qui va s’envoler
Juste une derrière fois
Pour une derrière avant que l’on te jette
Juste une derrière fois
A tes pulsions de poussées de baise
Le mal arrive les maladies restent
Même si t’as mal et que t’es en miettes
Le mal a guéri la maladie reste
Pour une dernière avant que l’on te jette
Ah les deux se désiraient à en mourir
Mais ne désirais pas crever
Ah les deux se désiraient à en mourir
Mais ne désirais pas crever
Explication des paroles de Le mâle a dit de Foé
« Le mâle a dit » de Foé est une chanson qui aborde le thème de la masculinité toxique et de la pression sociale qui pèse sur les hommes pour correspondre à des stéréotypes de virilité. Écrite dans un contexte de remise en question des normes de genre, la chanson interpelle sur les attentes imposées aux hommes et les conséquences néfastes que cela peut avoir.
Une anecdote sur la chanson : Foé a déclaré avoir été inspiré par son propre vécu et par les discussions qu’il a pu avoir avec ses amis sur la masculinité. Il a souhaité exprimer à travers sa musique le besoin de déconstruire les codes de la masculinité traditionnelle.
En conclusion, « Le mâle a dit » de Foé est une chanson engagée qui invite à la réflexion sur les normes de genre et sur l’importance de s’affranchir des carcans imposés par la société.